Après les premières représentations (Liège 17 et 18 janvier 15 – TURLG)
Témoignages écrits
Nous avons beaucoup aimé la pièce et beaucoup ri. Merci beaucoup pour ce divertissement qui nous fait prendre conscience que nous ne sommes pas seuls avec nos problématiques!
Katrine
Chouette pièce, dont les mots résonnent encore à mes oreilles et évoquent du vécu…
Cric de OVS.
Superbe prestation : réparties truculentes, musiques adaptées, salle comble, public conquis… Félicitations ! A bientôt sur les ondes.
Franck (Radio Equinoxe)
Cette pièce ayant été mise en scène par mon professeur et ami (d’éloquence et de déclamation), je ne saurai avoir que des éloges pour cette pièce qui soit dit en passant était criante de vérités et de vécus. Au plaisir.
Daniel
MERCI, merci pour la belle soirée d’hier à Liège, à la représentation de la pièce de Valérie Moeneclaey. Non seulement c’était un très bon divertissement mais où on sort de là avec plein de questions. Après un bref découragement (pas facile la communication), on retire quelques pistes de réflexion pour progresser dans cet art. J’adore ce genre de soirée et je vous encourage à continuer à écrire car aucune caricature, aucune vulgarité, rien que du bon sens et une volonté de s’améliorer. Encore merci et bonne continuation.
Christine
Merci pour la pièce, merci encore plus pour le fond, criant de vérités. J’ai beaucoup apprécié. Je suis venu seul, mais en sortant, j’ai remarqué que bon nombre de spectateurs “couples” s’en allaient bras dessus bras dessous. Super. Bravo.
Pierre-Paul
Léger et drôle tout en touchant des sujets qui nous concernent tous.
Muriel
J’ai passé un très bon moment. Le texte de Moeneclaey est tellement riche, foisonnant, quelques réflexions à retenir – à sortir du contexte même – (« j’aime toute la carte et je ne suis choisi qu’un seul plat) », et ce texte est beau, c’est bien écrit et c’est important, la belle langue française. Le texte est aussi bien servi par la fluidité du déroulement des opérations dans le couple. Une Céline convaincante, habitée on sent, on croit – et je n’en sais rien – qu’elle est passée par là. Un joli numéro d’actrice. Un Bernard un peu en retrait peut-être cet après-midi, mais je ne le connais pas. Bref un beau spectacle qui rempli – déjà – les salles…. Merci
JML
Ce fut un vrai plaisir de venir – en couple- voir, entendre et me régaler de la pièce que tu as écrite. Au travers du prisme d’un couple en plein virage, j’ai senti toute la sensibilité et la verve de l’auteure. Merci de m’avoir fait vivre cet excellent moment de théâtre.
Josette
Nous avons été émues et touchées par Corps et Désaccord. Ce fut bien plus qu’une pièce mais un jeu de miroir entre ce qui se passe sur scène et ce qui se joue tous les jours dans la vie d’un couple. Cet exercice difficile entre le lâcher-prise envers l’autre et le besoin de fusion… Le jeu de l’acteur reflétait bien les hésitations, les moments de faiblesse, d’angoisse de perdre l’autre et de se perdre en même temps… Je me suis demandé combien d’entre nous, dans la salle, se sont reconnus dans ce jeu de vouloir garder l’autre à tout prix… J’ai aimé ce mouvement du couple, inversement proportionnel, où péniblement mais sûrement Bernard baisse les armes et où grâce au travail douloureux de son conjoint, Céline se regarde enfin elle-même, se découvre et se demande ce qu’elle veut vraiment faire de ses rêves… Et donc d’elle-même… Cela a dû être difficile à travailler, j’ai senti le labeur des comédiens, et c’est ce labeur qui à mon sens rend cette pièce si authentique. J’aimerais dire à Frédéric Fena et à Valérie Moeneclaey à quel point j’ai été touchée et émue de ce travail et de la qualité du sujet. Quant à Bénédicte Mairy, j’ai eu la chance d’échanger avec elle après la pièce et de lui dire tout le plaisir que j’ai eu de voir son travail de scène. Quant à vous Vincent Libon, je n’ai que deux mots à vous dire; respect et chapeau bas.
C.M.
Bernard a un côté raide et cela le fait percevoir comme fragile et cette fragilité se dévoile de plus en plus. Il est de plus en plus proche. J’aime dans cette pièce ce mélange de mots, de déclarations, de rodomontades, de souvenirs émus, de questions sur le vide, le sens, le(s) projet(s) de sens… Ce mélange qui est la vie est bien rythmé. Céline est plus tragique, plus flamboyante, plus consciente de son enfermement. Plus proche des héroïnes d’Ibsen. Bernard, lui, plus proche de certains héros de Camus ou de Bove : des hommes qui sentent le vide en eux. Même les hésitations dans son débit sont intéressantes. Mais justement ce vide n’est pas du rien. N’est-ce pas la condition pour passer à un autre « niveau » de l’être masculin ? Le défi majeur d’un homme appelé à se mettre au monde ? Autrement dit, ils ont chacun un chemin difficile mais très différent.
PP.D.
J’ai vécu un profond moment d’intimité avec moi-même. Tous ces mots si puissants, des mots que l’on espère en secret recevoir en cadeau de l’être aimé.
Des mots qui rassurent, qui enveloppent. L’intimité n’est pas la nudité, c’est le mot dépouillé de sa feuille de vigne : toucher, amuser, mais aussi troubler. Les mots des pauvres gens, dits à une personne qu’on aime, deviennent des mots divins, parce qu’ils donnent des ailes.
Quel plaisir d’entendre des dialogues qui résonnent en soi et qu’on reçoit comme vérité d’un instant, des mots qui figent le temps, des mots bétonnés dans l’éternité d’un sentiment. Mais surtout des mots emprisonnés en moi ont étés libérés. Ce qui me réjouit, c’est que j’ai été réconcilié avec le théâtre, cette pièce a ouvert en moi des horizons que j’ai envie d’explorer.
Très belle performance d’acteur vu les circonstances, c’était la première. J’encourage de tout cœur le comédien, ce rôle lui va très bien, qu’il cesse de vouloir une conduite trop parfaite. Jeux de lumière et décor trop bons ainsi que les choix musicaux, j’ai été conquis.
A.C.
J’ai aimé le propos et l’intelligence du couple. Pour une fois que nous n’avons pas devant nous l’insoutenable légèreté de l’être, l’incommunicabilité … Cela fait du bien et cela fait réfléchir avec plaisir d’entendre des échanges entre 2 partenaires qui savent prendre du recul, qui savent qu’ils s’aiment et savent ce qu’ils veulent: être libres, ensemble, être respectés et respecter… J’ai aimé aussi la subtilité de l’évolution émouvante du mari: je t’ai découragée, j’ai risqué foutre en l’air la réalisation de ton rêve, alors je change d’avis et je t’aide à y aller, à foncer… Et ce volte-face est mal accueilli par la femme qui a envie de prendre ses décisions toute seule, comme une grande… Il y a eu plusieurs moments, anecdotes que j’ai trouvés fins, réalistes, faisant réfléchir tout en faisant rire sur nous-mêmes…
Par contre, j’ai été déçue par l’écriture du texte. J’ai trouvé que cela faisait trop « thérapie », j’ai trouvé le texte trop didactique. Histoire trop donneuse de leçon ? Mais fraîche, gaie, optimiste, oui!
En sortant, j’ai néanmoins ressenti de la bonne humeur et du plaisir! Sur le plan humain, c’était agréable de voir en miroir des travers que nous avons tous.
Ch. L.
J’ai savouré bien des répliques, me retrouvant dans mon couple ou face à ceux que j’ai vu fonctionner dans ma famille ou encore devant ceux avec lesquels j’ai été amené à travailler (psy). A plusieurs reprises, je me suis dit que cela sentait le vrai, le vécu… J’envisage de revoir cette pièce à Namur, bon vent pour cette œuvre !
Ph. L
Sur FaceBook :
Pièce très agréable. Comédiens parfaits. A voir absolument! Fabienne
Je suis allée aujourd’hui. Pas mal du tout. Michèle
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